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13 juillet 2009 1 13 /07 /juillet /2009 22:11
Auray : Espace Saisonnier

La maison de l'emploi et de la formation professionnelle du pays d’Auray (MDEFP, Morbihan) a mis en place un Espace saisonnier à Carnac, qui fonctionne d’avril à juillet. Il compte des relais avec le Point accueil emploi de Quiberon, la Mission locale d'Auray ou l’association La Brise à Belle-Île-en-Mer. En 2008, l'Espace saisonnier a reçu 871 travailleurs saisonniers et proposé 537 offres d'emploi dans l'hôtellerie, la restauration ou le commerce, mais aussi les services et l'industrie agroalimentaire.

L'Espace Saisonnier assure pendant la saison d'hiver la mise en relation des saisonniers du Pays d'Auray avec les employeurs des stations de Savoie et le suivi de leur saison en Rhône-Alpes afin de les fidéliser.
Il assure avec l’agence Pôle emploi le suivi du « Parcours Saisonnier » : point sur la réglementation, information sur les outils disponibles pour réaliser un projet ou une orientation professionnels et accompagnement à la mobilité saisonnière. Un forum de recrutements a lieu le jeudi 11 juin 2009 à Carnac.

Une des fonctions de l'Espace Saisonnier est aussi de recenser les demandes et les offres de logements.

En juin 2009, la MDEFP lance sur internet un site Espace saisonnier consacré à « l’emploi qui bouge » dont la finalité est de réaliser l’adéquation entre l’offre et la demande d’emploi saisonnière. Il permet aux personnes en recherche d'un contrat sur le territoire de déposer leur candidature en ligne : étudiants et lycéens ou saisonniers. L’initiative est, là également, en lien avec Pôle emploi.

    * Site de l’Espace saisonnier de la MDEFP : www.espace-saisonnier.fr

info venant d'emploi et création, le blog de Benoit Willot - Publié Samedi 6 juin 2009
http://www.emploietcreation.info/article-31038661.html
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12 juillet 2009 7 12 /07 /juillet /2009 23:29
L'emploi saisonnier ne connaît pas la crise

« C’est pas compliqué de trouver un travail ! », lance Fathya Khalid. En ces temps de crise, cette phrase peut paraître provocante, mais s'explique par le choix professionnel de Fathya : oser le secteur de l'emploi saisonnier, en station de ski l’hiver et près de la mer quand la saison s’y prête. « J’avais envie d’être libre, de travailler quand je voulais, et de pouvoir voyager.»
Diplômée d’un BEP secrétariat, cette Parisienne occupe pendant cinq ans des postes administratifs mais finit par ne plus supporter de travailler derrière un bureau. Elle fait alors le choix de la restauration, sans passer par une formation. « Je faisais appel à des bureaux de placement, ce sont des postes qui nous sont proposés à la journée, plutôt bien payés. »
Elle décide ensuite de poursuivre dans cette voie et de faire le tour des régions, « c’est intéressant les saisons car nous sommes nourris, logés et bien payés en plus ! Si l’on dépose notre cv sur un site comme hotellerie.fr, nous recevons plusieurs coups de fil dans la journée, trouver des offres est un jeu d’enfant », poursuit la jeune femme volubile.

Un salaire intéressant
Après trois ans de saisons, Fathya a posé ses valises à Saint-Palais-sur-mer où elle a trouvé un CDI, et ne cache pas gagner deux fois plus que lorsqu’elle était secrétaire. « Moi qui ne voulais pas m’engager ! », s’étonne t-elle encore. Aujourd’hui, elle incite « les jeunes » à suivre la même voie que la sienne, et surtout les femmes qui selon elle trouvent encore plus facilement du travail.
Antony Larboulette, quant à lui, n’incite pas les jeunes à être saisonnier mais les informe. L’association Réseaux pour l’Emploi – Pays de Lorient dans laquelle il travaille a co-organisé avec le Bureau Information de Lorient le premier « forum jobs d’été, mode d’emploi » le 1er avril dernier. « C’est important de connaître la législation qui gravite autour de l’emploi saisonnier, surtout pour les jeunes qui démarrent, c’est important de savoir que des municipalités réservent des places d’hébergement pour les saisonniers dans des campings par exemple. Il faut donc entamer ses démarches le plus tôt possible dans l’année. Nous avons fait venir les secteurs qui recrutent dans l’emploi saisonnier : les entreprises de nettoyage, le secteur de l’animation, la restauration, la grande distribution… ».

En tête : Ile-de-France et PACA
Durant la saison estivale, le saisonnier travaille bien souvent dès le mois de mai et jusqu’à septembre : il faut donc postuler via Internet ou les agences d’intérim le plus vite possible. Sur le site Saisonsite.com spécialisé dans l’emploi saisonnier, le candidat est mis gratuitement en relation avec les employeurs. « Nous avons 80 000 connexions par mois », explique Ophélie Lestage du site, « le secteur qui recrute le plus est l’hôtellerie » poursuit-elle. Selon une étude de l’Insee publiée en mars 2006 : en Provence-Alpes-Côte-d’Azur, 105 300 emplois salariés, en moyenne annuelle, sont liés à la fréquentation touristique, ce qui place la région Provence Alpes Côte-d'Azur en deuxième position derrière l’Ile-de-France. Et comme le remarque Ophélie Lestage, malgré la crise, les embauches de cet hiver ont été sensiblement les mêmes qu’en 2008, et l’été 2009 devrait être également correct en terme d’emplois... saisonniers.

info venant de Femmes. emploi.fr :
http://www.femmes-emploi.fr/article/l-emploi-saisonnier-ne-connait-pas-la-crise
le site «  Saison- site » :
http://www.saisonsite.com/


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19 mai 2009 2 19 /05 /mai /2009 10:49
Dans le Ségala,
un partenariat entre public et privé
pour mieux gérer les ressources humaines


Sur le territoire de la communauté de communes Causse Ségala Limargue (Lot), acteurs privés et publics ont créé la société coopérative à intérêt collectif (Scic) "Compétences et Territoire" qui propose à ses adhérents une gestion commune des ressources humaines.

Garder les salariés, mais également en faire venir. Cette problématique se pose sur de nombreux territoires, particulièrement les plus ruraux. Les entreprises, essentiellement PME, rencontrent des difficultés à recruter. Ce constat posé, que faire ? Dans le Ségala (Lot), élus, entreprises, associations ont choisi d'y répondre sous l'angle des ressources humaines, et pour cela de se doter d'un service de ressources humaines territorial. Pour le porter, ils ont créé une société coopérative d'intérêt collectif (Scic), la première du département, agréée en novembre 2007. Avec pour membres associés fondateurs, les associations Mode d'emplois (club d'entreprises), l'association Ségala Limargue et la communauté de communes Causse Ségala Limargue (dix-neuf communes et 6.300 habitants).
La Scic "Compétences et Territoire" compte aujourd'hui vingt-neuf associés, surtout des très petites et moyennes entreprises, de secteurs d'activités variés : bâtiment, travaux publics, géomètre, architecte, électriciens, coopérative agricole, jardinerie, Cuma, cabinet d'études... Sa responsable (et seule salariée), Cathy Labarthe, en détaille les missions : "Notre rôle est d'aider les chefs d'entreprise et les accompagner dans leur réflexion. Leur principale demande est d'apporter au salarié autre chose que le seul salaire, pour se démarquer d'offres plus ou moins attractives. Nous travaillons dès lors beaucoup sur les avantages sociaux."

Optimiser en mutualisant
Pour se lancer, la Scic a choisi un projet fédérateur et concret : la négociation commune d'une complémentaire santé. Dix entreprises étaient intéressées (soit 180 salariés), toutes l'ont confirmé en signant un contrat avec la mutuelle retenue par la Scic sur les six ayant répondu à l'appel d'offres. "Le cahier des charges avait été élaboré avec les entreprises en fonction de leurs souhaits et ceux de leurs salariés", précise Cathy Labarthe.
La palette des interventions de la Scic (1) va de  la gestion pure des ressources humaines (entretien annuel, recrutement, rédaction de fiches de postes) à des actions plus collectives. Elle a ainsi accompagné l'audit social chez cinq jeunes entrepreneurs. Il en est notamment ressorti des besoins de formations communs pour les salariés. Et comme première réponse, l'organisation, en octobre 2008, d'une formation au certificat d'aptitude à la conduite d'engins de chantiers en sécurité, dans les locaux de la Scic, avec du matériel fourni par une entreprise locale. "L'idée est toujours d'optimiser en mutualisant. J'ai fait le lien avec l'organisme de formation. La formation sur place a permis d'en limiter le coût et a créé des synergies", commente Cathy Labarthe.
Les ressources humaines s'entendent ici au sens large : de l'arbre de Noël, premier du genre en décembre 2008 (auquel 150 enfants de onze entreprises et sept mairies ont participé), à l'idée d'un comité d'entreprise collectif en passant par la mutualisation des fournitures de bureau. Avec la communauté de communes, les chantiers sont parfois plus spécifiques, comme le diagnostic petite enfance ou la réflexion sur l'implantation d'une maison médicale. "Cela se justifie dans un cadre plus large de services à offrir à la population pour participer à l'attractivité du territoire et donc des emplois proposés", conclut Cathy Labarthe.

Emmanuelle Stroesser, le mardi 28 avril 2009 pour les sites Mairie-conseils et Localtis

(1) Les prestations de la Scic sont facturées à la journée : 400 euros HT pour une entreprise (450 pour une entreprise non-associée), 300 pour une association.
http://www.localtis.info/servlet/ContentServer?pagename=Mairie-conseils/experience/Experience&cid=1238992168017

Contact
Scic Compétences et Territoire , 46120 Lacapelle-Marival, Tel : 05 65 38 28 40
Cathy Labarthe, Responsable de la Scic scic-ct@orange.fr


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11 mars 2009 3 11 /03 /mars /2009 10:24
Pôle emploi : Premiers retours très positifs
pour la mise en oeuvre des "référents uniques"


Selon onze députés qui se sont rendus sur site, la mise en route de Pôle emploi se passe plutôt bien, malgré quelques accrocs (téléphones surtaxés pour les portables, logiciels de traitement des demandes trop lents, etc.). Laurent Wauquiez a par ailleurs garanti qu'une solution allait être trouvée pour les bénéficiaires de l'allocation de fin de formation.

Le secrétaire d'Etat chargé de l'emploi Laurent Wauquiez a souhaité faire un point le 10 février 2009 sur la mise en œuvre de la fusion ANPE/Assedic et les premiers pas de Pôle emploi. Onze députés se sont dernièrement rendus sur place, dans des agences de leur circonscription, pour recueillir les impressions des demandeurs d'emploi et du personnel. Leurs retours sont plutôt positifs, avec notamment un grand succès pour le "référent unique".
 "Le référent unique est une réelle avancée", a ainsi noté François Vannson, député des Vosges.
"C'est une excellente idée et en plus ça marche", a dit Jacques-Alain Benisti, député du Val-de-Marne. "Les demandeurs ne se sentent plus seuls et sont accompagnés, aujourd'hui c'est simple", a pour sa part déclaré Olivier Carré, député du Loiret.
Autre point positif : le personnel se sent valorisé d'exercer les deux métiers, celui de l'ANPE et des Assedic.
"Intellectuellement, le personnel est très content", a ainsi assuré Bérangère Poletti, députée des Ardennes. Mais certains points restent toutefois à améliorer : le numéro de téléphone unique, 3949, destiné aux demandeurs d'emploi, qui est surtaxé quand on appelle à partir d'un portable, les relations avec les entreprises, qu'il faut encore augmenter et le logiciel de traitement des demandes qui est à améliorer. Des solutions sont avancées sur ces différents points. Laurent Wauquiez est notamment en cours de négociation avec les opérateurs de téléphonie mobile pour obtenir des réductions de prix. Des téléphones fixes dédiés au numéro 3949 vont être installés dans les pôles emploi.

Heures supplémentaires
Le problème principal de la fusion en cours reste le temps passé par le personnel en formation. Trois jours de formation sont ainsi prévus pour chacun des agents. Un temps qui pèse sur leur activité quotidienne. "Le personnel est en train d'amonceler des dossiers, a expliqué Bérangère Poletti, ils ont besoin de renfort." En même temps, cette durée de formation ne semble pas suffisante. "Les conseillers ont la crainte de ne pas connaître le métier de l'autre, ils ne sont pas encore rassurés", a expliqué Jacques Grosperrin, député du Doubs. "La formation est rapide, a pour sa part noté Catherine Vautrin, député de la Marne, elle nécessitera des piqûres de rappel."
Sur ce point, le secrétaire d'Etat envisage une deuxième phase de formation pour les agents d'ici quatre à cinq mois. Par ailleurs, il a insisté sur les progrès réalisés en matière de traitement des dossiers. "On comptait 89.715 dossiers en instance au 21 janvier 2009, il n'y en a plus que 57.000 aujourd'hui", a-t-il annoncé. Des progrès réalisés grâce à la mise en place d'un dispositif d'heures supplémentaires (après 20H et le samedi), la création de plateformes mutualisées et grâce au recrutement d'agents supplémentaires. "On a réagi en mettant le paquet, a souligné le secrétaire d'Etat, car c'est inacceptable qu'un demandeur d'emploi subisse une double peine : la perte de son emploi et le retard administratif !"

Si Laurent Wauquiez est conscient des points faibles de Pôle emploi, il n'en est pas moins fier des avancées, soulignant les éléments qui ont pu être mis en place grâce à la nouvelle structure, comme l'exonération des charges sociales pour toute embauche réalisée cette année par une entreprise de moins de dix salariés, l'extension des contrats de transition professionnelle et les aides à la mobilité qui ont été multipliées par deux. Reste que l'analyse faite par les députés a principalement porté sur les sites pilotes, dont les équipes ont déjà fusionné. "Là où c'est en cours de démarrage, ça frotte, c'est plus difficile", a reconnu Laurent Wauquiez.

Emilie Zapalski, publié le 10 février 2009 sites Localtis et Mairie Conseil
http://www.localtis.info/servlet/ContentServer?pagename=Localtis/artVeille/artVeille&c=artVeille&cid=1234243767807


L'allocation de fin de formation va-t-elle être supprimée ?
Si le projet de loi de finances 2009 prévoit la suppression des crédits dédiés au financement de l'allocation de fin de formation (AFF), l'affaire n'est pas encore réglée pour autant. Le gouvernement prévoyait notamment que cette dépense, de l'ordre de 169 millions d'euros en 2008, soit prise en charge par le budget de l'assurance chômage. La décision avait été jugée "incohérente" par les régions. Cette allocation permet aux demandeurs d'emploi de continuer à être rémunérés jusqu'au terme de leur formation lorsque leurs droits d'assurance chômage ne couvrent pas la durée totale de la formation. "On ne va pas laisser les gens au bord de la route en fin de formation", a précisé Laurent Wauquiez à l'occasion du bilan d'étape organisé le 10 février 2009 sur Pôle emploi. Le secrétaire d'Etat compte s'occuper de ce "gros sujet" dans les dix jours qui viennent, en collaboration avec les partenaires sociaux, qui pourraient être amenés à cofinancer cette charge.
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10 mars 2009 2 10 /03 /mars /2009 10:37

La reprise, ça concerne aussi les associations

Comme les entreprises, et parfois plus durement, les associations sont contrainte à déposer leur bilan, à cesser leur activité. Les associations aussi peuvent être reprises, l'Unarec l'a fait, et ça peut donner des idées.
Mais attention, ce n'est pas facile, et cela demande beaucoup de professionnalisme !!!!!


Consolider les emplois fragilisés :
l'expérience réussie de sauvetage de 64 emplois (sur 65 en péril).


Quand une association du patrimoine est en liquidation judiciaire, il est impossible de faire une offre de reprise si l’on ne comprend pas les mécanismes de la décision judiciaire...
Les associations, comme les entreprises, sont confrontées à des situations qui peuvent les conduire à une extrême fragilité et à des périodes de crise mais les premières sont moins à même que les secondes d'organiser la survie de leur structure et donc de leur projet.

Une méthode a été rédigée par l'Unarec.

Consulter le rapport de l'Unarec
http://equal-depart.source.asso.fr/index.php?id=725

 et aussi le site Unarec : www.unarec.org


DEPART, c'est quoi ? :  C'est un Projet Equal 2005-2008

DEPART - Développer l'emploi dans le patrimoine rural sur les territoires
DEPART est projet  retenu en juillet 2005 au titre du programme d'initiative communautaire Equal. Il vise à connaître et faire reconnaître le patrimoine rural comme insérant et porteur d'emplois nouveaux et d'égalité des chances.
Enclenché fin 2004 - en partenariat avec des structures de terrain UNAREC, FEMS, FPNRF, SRG et d'appui GREP, AFRAT, source - ce projet coordonné par source développe sa phase d'actions sur le terrain depuis mi 2005 et ce jusqu'à la fin 2008.
Une phase de dissémination des fruits du projet se déroulera jusqu'à la fin 2008. Les discussions s'ouvrent pour préparer cette phase capitale.
Au programme : des diagnostics, des analyses, des expérimentations, des formations innovantes… afin de favoriser l'emploi et l'insertion autour du patrimoine rural, d'accroître la qualification des emplois de médiation culturelle, d'accompagner les initiatives porteuses d'emploi.
A quoi s'ajoute l'objectif transversal de connaître et faire reconnaître le patrimoine rural comme insérant et porteur d'emplois nouveaux et d'égalité des chances entre les hommes et les femmes.
A terme, le projet veut favoriser l'émergence d'une politique publique adéquate pour le secteur.


…Et dans les résultats, le rapport de l'Unarec concernant la reprise, un produit non prévu, mais qui doit servir.

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1 mars 2009 7 01 /03 /mars /2009 10:40
Les quinquas dans la tourmente

L'activité des seniors en France reste l'une des plus faibles de l'Union européenne. Un problème que les régions rechignent encore à traiter. A de rares exceptions près, comme en Rhône-Alpes.

Dans un marché de l'emploi en berne, la situation des seniors n'est pas des plus enviables. Encore moins en France où le taux d'emploi des seniors (55-64 ans) est déjà l'un des plus faibles des pays d'Europe : 38,3% contre 44,7% en moyenne dans l'Union européenne. On est bien loin de l'objectif de 50% fixé au niveau communautaire. Et plus encore du début des années 1970 où trois quinquagénaires sur quatre étaient en activité en France. Depuis des années les plans se succèdent (plan Fillon en 2003, plan Larcher en 2006) et la situation est toujours la même. Avant même le début de la crise, le gouvernement en a fait une priorité nationale. C'est une condition de réussite de la réforme des retraites.
Plusieurs mesures ont été annoncées aux partenaires sociaux dès juin 2008 :
- favoriser le maintien des seniors dans l'emploi en supprimant les limites d'âge et la mise à la retraite d'office,
- faciliter le cumul entre pension de retraite et revenus d'activités,
- relever progressivement l'âge de dispense de recherche d'emploi (DRE) et accompagner les seniors pour favoriser leur retour vers l'emploi.
- La loi de financement de la Sécurité sociale 2009 a permis certaines adaptations.
: L'article 87 incite ainsi les entreprises à conclure d'ici le 1er janvier 2010 un accord en faveur de l'emploi des seniors, sous peine de pénalités financières correspondant à 1% des rémunérations. L'article 88 traite quant à lui du cumul emploi/retraite : il est autorisé depuis le 1er janvier 2009, sans restriction, dès 60 ans, lorsque les assurés ont eu une carrière complète et au-delà de 65 ans. Le plafond imposé actuellement au cumul entre le salaire et la pension (1,6 Smic) et le délai de carence de six mois applicables sont supprimés. Enfin, l'article 89 majore le taux de la surcote. Ce taux, qui majore les pensions des assurés qui continuent à travailler alors qu'ils pourraient avoir droit à leur retraite à taux plein, est porté à 5% par an dès la première année.
Laurent Wauquiez, le secrétaire d'Etat à l'Emploi, souhaite aussi recourir au tutorat en entreprise, c'est-à-dire la transmission des savoirs. Sur la base du rapport de Bernard Masingue, directeur de la formation chez Véolia, qui devrait être remis dans les prochaines semaines, des mesures pourraient être insérées dans la future loi sur la réforme de la formation professionnelle qui doit être présentée en 2009.
Le gouvernement entend ainsi revenir à un taux de 45% des plus de 55 ans au travail d'ici cinq ans. C'est déjà moins ambitieux que l'objectif du plan Larcher de 2006 qui tablait, lui, sur un taux de 50% à horizon 2010 conformément aux engagements européens ! Toutes ces mesures pourraient une nouvelle fois de s'avérer vaines si aucun travail n'est fait sur "l'employabilité" des seniors, à savoir la formation professionnelle, essentielle pour se maintenir à flot.

Retour à l'emploi
Or, pour le moment, les collectivités territoriales rechignent encore à prendre en charge l'emploi des seniors, considèrant que la tâche revient au gouvernement. Certaines d'entre elles ont toutefois décidé de prendre le problème à bras le corps en favorisant le maintien ou le retour à l'emploi des publics en difficulté.
C'est le cas en Rhône-Alpes. La région soutient les petites entreprises dans la gestion prévisionnelle des emplois et des compétences (GPEC) à travers un dispositif dénommé Securise'RA (Sécuriser l'emploi en Rhône-Alpes). Elle finance ainsi des actions de conseil sur la gestion des âges et la transmission des savoirs. Autre dispositif : les contrats d'aide et de retour à l'emploi durable (Cared). Grâce à ces contrats, initialement développés pour les jeunes et les femmes, "les entreprises s'engagent à embaucher durablement des seniors, en contrepartie, la région permet aux seniors de suivre une formation adaptée", explique Christiane Puthod, conseillère déléguée à l'emploi à la région Rhône-Alpes. 10.000 formations ont pu être ainsi mises en place grâce à ces contrats, tout public confondu. "Si l'emploi des seniors relève de la responsabilité de l'Etat, nous avons souhaité faire du cousu main à travers les Cared pour les seniors."
En Paca, un "plan régional pour l'emploi des seniors" a été lancé en 2007 suite aux assises sur les seniors qui s'étaient déroulées à Avignon. Patronat, syndicats, Pôle emploi, organismes de formation, conseil régional et Etat devraient signer une charte autour d'engagements communs.
Les Agefos PME de la zone Sud (Auvergne, Corse, Languedoc-Roussillon, Midi-Pyrénées, Paca, Rhône-Alpes) sont elles aussi très actives et viennent d'éditer un bilan des nombreuses actions menées sur leur territoire. En Midi-Pyrénées, par exemple, le dispositif SécuriPass a permis de mener des "diagnostics sécurisation des parcours professionnels" auprès des 710 TPE et PME en 2008 pour évaluer leurs besoins. 400 salariés (dont un quart de plus de 45 ans) ont ensuite bénéficié d'un accompagnement auprès du Centre institutionnel des bilans de compétence (CIBC) avant d'être aiguillés vers les dispositifs adéquats : droit individuel à la formation (DIF), période de professionnalisation, validation des acquis de l'expérience (VAE), etc. Le modèle finlandais avec ses résultats édifiants (55% des seniors en activité) n'est peut-être pas le seul à mériter de l'intérêt.

E.Z. et M.T., publié le  18 février 2009 pour les sites Mairie Conseil et Localtis
http://www.localtis.info/servlet/ContentServer?c=artJour&cid=1234934900255&pagename=Localtis/artJour/artJour


"La cinquantaine est le moment idéal pour créer son entreprise"

Environ 16% des créations d'entreprises sont le fait des 50 ans et plus. C'est ce que révèle une étude sur les seniors et la création d'entreprise réalisée par l'APCE et les chambres de commerce à l'occasion du Salon des entrepreneurs. Si 81% de ces créateurs d'entreprise ont moins de 60 ans, tous sont unanimes : "La cinquantaine est le moment idéal pour créer son entreprise."  D'un côté, les contraintes familiales sont moindres, de l'autre, ils ont atteint une certaine maturité dans leur parcours professionnel. D'après l'étude, 12% des seniors envisageraient de se lancer dans l'aventure. Un chiffre qui grimpe à 18% pour la tranche des 50-64 ans, soit un vivier potentiel de 2,5 millions de créateurs de 50 ans et plus en France.

E.Z.
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26 février 2009 4 26 /02 /février /2009 16:56
Les priorités de l’inspection du travail pour 2009

                                        On se préoccupe de l'agriculture et de l'égalité professionelle

En 2009 les campagnes de contrôle de l'inspection du travail porteront, entre autres,
sur l’égalité professionnelle entre les sexes et les risques chimiques.
Une circulaire de la Direction générale du travail (DGT) fixe les actions programmées et les campagnes de contrôle de l’inspection du travail en 2009. Conformément au plan de modernisation et de développement de l’inspection du travail (v. Bref social n° 14583 du 10 mars 2006), cette dernière est notamment chargée de « poursuivre la progression du nombre d’interventions en entreprise ».

Actions programmées
Les actions prioritaires pour 2009 sont inchangées par rapport à 2008. Ainsi, les agents de contrôle doivent porter prioritairement leur activité de contrôle sur les cinq thèmes suivants :
– l’évaluation des risques professionnels et leur prévention ;
– l’application de la réglementation sur les agents chimiques cancérogènes, mutagènes et toxiques pour la reproduction (C. trav., art. R. 4412-59 à R. 4412-93) ;
– le travail précaire (application des dispositions relatives au CDD, au contrat de travail temporaire et autres contrats de mise à disposition) ;
– la mise en place, le renouvellement et le fonctionnement des délégués du personnel ;
– la lutte contre le travail illégal sous toutes ses formes.
D’autres actions prioritaires visent spécifiquement les secteurs de l’agriculture et des transports terrestres.
En outre, selon la circulaire, « la dégradation actuelle de la situation de l’emploi doit mobiliser fortement l’inspection du travail sur ses missions et pouvoirs propres ». Ainsi, cette dernière doit s’impliquer dans le traitement des situations de chômage partiel, le respect des procédures et l’appréciation des plans de sauvegarde de l’emploi, et le cas échéant, dans la proposition de constat de carence. Pour se faire, les agents de contrôle doivent travailler « en articulation étroite avec les services chargés, dans les directions départementales, des mesures d’accompagnement des programmes gérés par la DGEFP, sous la coordination et la responsabilité d’ensemble du directeur départemental ».

Campagnes de contrôle
La circulaire définit également les campagnes de contrôle pour l’année 2009. Elles résultent des priorités du ministère du Travail, des protocoles d’accord relatifs à la mise en œuvre de la fusion des services d’inspection du travail (v. Bref social n° 15274 du 6 janvier 2009) et des orientations du Comité des hauts responsables de l’inspection du travail.
Égalité professionnelle entre  hommes et femmes. Cette campagne, commencée en septembre 2008 par l’information des entreprises, doit s’intensifier en 2009 avec l’application de sanctions administratives qui interviendront à compter de 2010.
• Risques chimiques sur les lieux de travail. Cette action s’inscrit dans le cadre de la campagne 2008-2009 sur la santé et la sécurité au travail de l’Agence européenne de Bilbao (v. Bref social n° 15222 du 20 octobre 2008). La campagne de contrôle, qui sera réalisée au second semestre 2009 et dont les modalités pratiques restent à définir, portera sur l’évaluation des risques chimiques ; les PME utilisatrices (et non les industries chimiques) ; la sensibilisation des employeurs et des travailleurs ; cinq secteurs d’activité : sylviculture et fabrication des meubles, entretien des véhicules, boulangerie, soins de santé, nettoyage ; les « groupes de population vulnérable », notamment les jeunes travailleurs. Il est en particulier prévu de promouvoir la santé au travail dans l’éducation et l’apprentissage.
• D’autres campagnes de contrôle concernent l’agriculture, et les secteurs maritime et aérien.
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5 février 2009 4 05 /02 /février /2009 09:43
Initiatives solidaires et création d'emploi :
un appel à projets de la Fondation de France


L'appel à projets « Initiatives solidaires et création d'emploi » de la Fondation de France vise à soutenir des activités qui permettent de créer des emplois pérennes et accessibles à des personnes connaissant des difficultés d'accès au marché du travail. Ces activités peuvent être :
- des services d'aide à la mobilité,
- services à domicile,
- des crèches collectives,
- des activités de protection ou d'initiation à l'environnement,
- des activités culturelles,
- des bars et restaurants associatifs,
- des coopératives d'achats,
- des regroupements d'employeurs, etc.

Les projets peuvent être portés par des associations et des organismes à but non lucratif.

Pour être retenus, les projets devront répondre aux quatre critères suivants :
- créer des emplois stables et de qualité,
- être socialement utiles,
-  intégrer une dimension participative
- avoir un caractère économique.

La Fondation de France soutient en moyenne une centaine de projets par an dans ce cadre pour un montant moyen compris entre 5000 et 30 000 euros.
La date limite de réponse est fixée au 2 juin 2009

information du 29/01/2009, venant de "projet de territoire", le site de ETD

http://www.projetdeterritoire.com/index.php/Espaces-thematiques/Emploi-Formation/Actualites/Initiatives-solidaires-et-creation-d-emploi-un-appel-a-projets-de-la-Fondation-de-France

Téléchargez le programme sur le site de la Fondation de France
http://www.fdf.org/jsp/site/Portal.jsp?page_id=196


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2 février 2009 1 02 /02 /février /2009 10:30
Compétence et Mobilité en Île de France






































Le troisième grand colloque de TEDIS(Territoire et Dialogue Social), organisée conjointement avec le groupe AMMNYOS, se tiendra à la Mutualité, le mercredi 4 février 2009
 
sur le thème : COMPETENCES ET MOBILITE EN ILE DE FRANCE, à partir de réalisations localisées et articulées dans le  pôle de compétitivité par concertations interentreprises.

Le colloque sera ouvert par LAURENT DAVEZIES
et clôturé par YVES CALVEZ directeur du travail

Vous pouvez consulter le programme de la journée en cliquant sur ce lien :
http://amnyos.com/documents/Invitation_3eme_colloque_TEDIS.pdf
Delphine Sonck, Mail : delphine.sonck@amnyos.com, Tél. : 01.43.13.26.66
Pour vous inscrire, envoyez un mail de confirmation à : philippe.medan@wanadoo.fr
 



 
 
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21 janvier 2009 3 21 /01 /janvier /2009 10:20
Un groupement d'employeurs agricole en réponse au travail saisonnier

Grâce à un travail de prospection du potentiel de création d'emplois sur son territoire, la communauté de communes du Diois (Drôme) a favorisé et soutenu la création de groupements d'employeurs agricoles. Le premier, celui de la Vallée de Quint, a permis à des agriculteurs de répondre à leur besoin de main-d'oeuvre saisonnière tout en offrant un emploi moins précaire.

 "Sans l'appui de la communauté de communes et de l'association d'initiative drômoise pour l'emploi rural (Aider), nous n'aurions jamais été jusqu'à la création de ce groupement", assure Daniel Rolland, président du groupement d'employeurs agricole de la Vallée de Quint.
Né fin 2002, ce groupement a permis la création d'un CDI annualisé, partagé entre ses adhérents (huit exploitants agricoles, la cave coopérative et une Cuma). "Il nous offre la possibilité de répondre à un besoin de main-d'oeuvre qualifiée que nous avions les uns les autres à différents temps de l'année et sur des tâches variées (taille et vendange, foin et moissons, conduite d'engins,  etc.) mais pour lequel aucun d'entre nous ne pouvait assurer un temps plein", explique Daniel Rolland, viticulteur bio qui en est le plus gros utilisateur (70% de l'emploi créé).
Un emploi, l'impact est modeste, mais "ici, les emplois sont rares (200 offres par an et 40% de CDD de 1 à six mois), plus encore les CDI", réagit Marie-Laure Valla, animatrice emploi/formation du site de proximité (1) pour l'emploi et la création d'activités de la communauté du Diois qui a aidé à l'émergence et la mise en oeuvre de ce projet.

Profiter des contrats territoriaux d'exploitation
Ce site de proximité a entre autres missions "la construction d'offres d'activités à partir du repérage et de la mobilisation des potentiels d'activités et d'accueil". Aussi, lorsque les premiers contrats territoriaux d'exploitation (CTE) commencent à être proposés aux agriculteurs en 2001, l'équipe y voit l'occasion de réfléchir à la création d'emplois auprès d'eux. De réunions en réunions, des besoins précis émergent, mais de façon éparpillée. La solution du groupement d'employeurs séduit quelques agriculteurs. "Nous les avons laissé démarcher d'autres collègues car ils avaient plus de légitimité et de facilité que si cela avait été la communauté de communes", reprend Marie-Laure Valla. Daniel Rolland et un autre agriculteur fédèrent ainsi les adhérents nécessaires (dont la cave coopérative qui apportait les quelques heures nécessaires pour compléter le temps plein), pour lancer le premier groupement agricole du Diois.

Trois autres groupements créés dans le territoire
Ce territoire compte aujourd'hui trois autres groupements, aussi modestes en nombre d'emplois.
La porte d'entrée est toujours agricole, mais ils s'ouvrent à d'autres activités ; un office de tourisme a ainsi rejoint l'un d'eux pour l'entretien des sentiers.
Le groupement permet de concilier des bouts d'emploi pour en créer un, à temps plein. Mais encore faut-il trouver le mouton à cinq pattes, suffisamment polyvalent. Celui de la Vallée de Quint en est à son quatrième salarié, les trois premiers ayant abandonné pour des raisons professionnelles ou familiales. La gestion n'est pas non plus de tout repos (planning, gestion administrative, etc.), d'autant que certains adhérents ne sont plus utilisateurs. "La communauté nous a accompagnés dans le montage juridique et technique et la gestion les deux premières années, maintenant on doit pousser la locomotive seuls, ce qui est normal, mais j'avoue que cela pèse certains jours !", souligne Daniel Rolland, qui verrait d'un bon oeil que des communes rejoignent le groupement pour élargir sa gamme d'activités et conforter sa pérennité.

Emmanuelle Stroesser, le
mardi 23 décembre 2008, pour les sites Mairie-conseils et Localtis

(1) opération pilote du contrat de plan Etat-région et du plan de développement rural Rhône-Alpes, lancée en 1996.

Contact : Communauté de communes du Diois
Site de proximité du Diois- 42 rue Camille Buffardel- BP 41, 26150 Dié Tel : 04 75 22 29 44
Nombre de communes : 52 Nombre d'habitants : 11000
Valla Marie-Laure, animatrice emploi/formation du site de proximité marie-laure.valla@pays-diois.org
Rolland Daniel Président du groupement d'employeurs rolland@laposte.net

Connaissez vous le Centre de Ressources Poitou-Charente pour les Groupements d’Employeurs ?
Le Centre de Ressources Régional pour les Groupements d’Employeurs (C.R.G.E.) a toute une histoire et des tas d'infos sur les Groupements d'Employeurs non- agricoles
http://www.crge.com
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